Cet été (en juin 2011), neuf footballeurs sénéglaises en tournée ont disparu au Havre (une ville dans le nord-oeust de la France). Ils sont venus de la région de Dakar (la capitale du Sénégal) mais ils étaient en train de faire un tournament amiable contre une formation du HAC (une équipe de jeunes du Havre). Les articles suivants donnent plus d’information :
[2] http://www.rfi.fr/afrique-foot/20110607-football-une-equipe-senegalais-aurait-disparu-france (Français)
[3] http://sports.ndtv.com/football/news/item/174491-soccer-team-from-senegal-disappears-in-france (English)
Ce qui m’a frappé est l’idée que les footballeurs ont disparu de leux propre choix, pour gagner l’entrée plus permanente en France. Quelques citations des articles au-dessus me semblent soutiennt cette idée, par example : « The players are expected to either claim asylum or disappear in the black economy. » [3] et la questoin d’un organisateur, « Peut-être veulent-ils rester ici ? » [1]
Je pense que ces évenéments sont très intéressants à considérer avec la lecture du roman « Le Ventre de l’Atlantique » parce que les deux impliquent les circomstances des sénéglais qui essaient d’utiliser le football comme un moyen de rester en France. Bien sûr, Madické dans le livre veut avoir l’occasion d’aller en France pour réussir en jouant le foot, tandis que les footballeurs qui ont disparus ont été en France pour un temps assez bref avant de disparaître. J’étais un peu étonnée que les gens ont pensé qu’ils pouvaient laisser avec intention pour y rester (puisque quand j’ai commencé à lire l’article, je m’attendais lire qu’ils ont été kidnappés pour un crime d’haine, par exemple). Cependant, nous avons discuté qu’il y a des sénéglais qui feraient n’importe quoi pour aller en France, alors c’est possible qu’ils ont disparu dans la socíété avec le désir d’y rester longtemps.