Le Chronicle et Notre Cours

Le journal independanet de l’Université a publié deux articles sur des sujets pertinents à notre cours.

Le premier est un article sur le subjet de les “hijabis” à Duke.  C’est interresant d’apprendre de les opinions et les croyances des femmes qui portent la voile ici.

Aussi, voila, dans l’edition de 17 Fevrier, un équipe des médecins et des infirmiers sont retournés d’une mission à Haïti où ils ont fourni soins medicaux dans le sillage de le tremblement de terre tragique.  Ils ont voyagé dans le cadre de “Partners in Health” un organisation fondé par Paul Farmer qui est un dîplomé de Duke aussi.  Il y a beaucoup de liens entre notre l’université et Haïti, quel que fois inattendus.

5 thoughts on “Le Chronicle et Notre Cours”

  1. J’ai vraiment aimé cet article sur les hijabis. Je suis musulman moi-même (mais je suis homme, donc je ne porte pas le hijab), et je crois que cet article est une vraie bonne représentation des hijabis à Duke. Je te remercie, Ryan, d’avoir pris le temps de vraiment comprendre les hijabis.

    Je trouve les points de Jennifer très intéressants. Les attitudes orientalistes à l’égard du hijab existent, et on doit vraiment essayer de comprendre ce problème du point de vue musulman. Le problème devient plus compliqué quand on essaie de discuter la situation en France, parce que c’est difficile de vraiment comprendre la position française aussi bien que celle des musulmanes en France.

    Je connais très bien toutes les femmes citées dans cet article, et je peux vraiment dire qu’elles sont toutes très puissantes. En réponse aux commentaires de Caitlin, je dirais que la religion est une représentation des pensées d’une personne. Quand on fait partie d’une religion, on choisit de vivre sa vie d’une façon particulière. Donc, d’être considéré par le hijab c’est d’être considéré par une choix personelle au lieu d’être jugé par le corps. De plus, on a bien sûr des personnalités différentes dans chaque religion, et, à mon avis, il ne faut pas extrapoler les caractéristiques d’une hijabi aux toutes autres, comme Caitlin dit.

  2. J’ai trouvé l’article dans le Chronicle sur les « hijabis » très intéressant aussi, et je suis d’accord avec Ryan et le chapelain qu’on ne devrait pas juger les femmes musulmanes selon nos croyances. Cependant, je pense que c’est plus facile de regarder le voile comme un symbole de la modestie quand une femme peut le porter volontairement. C’est quand la société ou la famille dit qu’elle doit le porter ou être punie, que le voile ou l’hijab arrête d’être un symbole et commence d’être une obligation qui oppresse. Par contraste, si la société dit (comme en France) que les femmes musulmanes ne peuvent pas porter ce qu’elles veulent aux certains lieux, ça peut être une forme d’oppression, aussi, à mon avis.

    En plus, une des femmes a dit dans l’article que le voile leur donne la liberté d’être considérée pour son esprit, pas son corps, mais est-ce que le port du voile remplace « la corps » avec la religion ? Est-ce qu’on peut vraiment ignorer complètement l’apparence d’une personne ? J’ai enseigné une des femmes citée dans l’article, et elle était si timide que c’était difficile de savoir si elle comprenait les idées de la cours. Cet attitude me semble très différente que celle de la puissance personnelle qui est décrite dans l’article. Pourtant, ce n’était qu’une expérience. En somme, je crois que cet article nous encourage de penser au beaucoup de sujets concernant la religion, les préjudices, l’atmosphère académique, etc. Très bon travail, Ryan !

  3. Hier, j’ai aussi trouvé un article intéressant au sujet d’Haïti. En classe, nous avons discuté comment créer un film au sujet de la révolution haïtienne. Notre groupe a décidé qu’un aspect intégral de ce film serait le perspectif des haïtiennes. La difficulté serait comment les donner le pouvoir et les ressources de faire ce film. Cet article de Wall Street Journal (http://online.wsj.com/article/SB10001424052748704041504575045522920595294.html?mod=loomia&loomia_si=t0:a16:g2:r1:c0.0310736:b30793412) montre que la dispersion de la population autour du monde est une force influente. Il est possible que la diaspora des haïtiennes contrôlera comment le monde connaîtra l’histoire de ce peuple à l’avenir.

  4. Thank you Ryan for including in your blog post, the quote from the Chaplain Abdullah Antepli that was not in the final article. When I read the article on Tuesday, it reminded me of the discussion we had about the “burqa ban” law France is trying to implement- during Lynn Hunt’s visit last month. Was that an inspriation for your Chroncile articel at all?

    Also as I read Chaplain Abdullah Antepli’s quote, I couldn’t help but relate it back to Edward Said and his definition of Orientalism ( Another past discussion class topic).

    Edward Said defined Orientalism is a number of different ways. Out of his lenghty definition the part I found most relavant to Abdullah Antepli’s quote is when Said states that

    “it [Orientalism] is, rather than expresses, a certain will or intention to understand, in some cases to control, manipulate, even to incorporate, what is a manifestly different (or alternative and novel) world”

    Antepli stated, “The important thing with something like the hijab is that people should try not to judge through their own cultural lens, which might lead them to some unfair and negative conclusions.” It seems like with this advice he urging people not judge in a way that Said would deem Orientalistic- judging an aspect of a different culture though one’s own cultural lens.

  5. Hi Meg,
    I was actually just going to post an entry when I saw yours, so now it probably makes more sense for me to just leave you a comment.

    I wrote that Chronicle article about women at Duke who wear the hijab and while I don’t think you can draw exactly the same conclusions about wearers of the hijab and wearers of the burqa, it is very interesting to see how Muslims approach the idea of veiling, which in general has gotten a bad rap in the west–I think because we have the idea that having to cover yourself runs counter to personal liberty and agency. I don’t mean to take up the point of whether that is true or not in the case of the burqa, but I do want to share a quote that didn’t make it into my article from Muslim Chaplain Abdullah Antepli. He said:

    “If you look at language even, the term veiling is something that’s pejorative in the western mind. [Muslims] don’t necessary have that. People tend to take their own experience with women in the church and project that baggage onto Islam. But those kind of mental blocks are not necessarily identically shared by people in the Orient. The important thing with something like the hijab is that people should try not to judge through their own cultural lens, which might lead them to some unfair and negative conclusions.”

    He also spoke to me at great length about the high value of modesty in Muslim societies, which is to say that for many Islamic peoples modesty is a value that transcends religion and is very deeply imbedded in their cultures more generally. That raises an interesting point of how much you can or should ask of people in terms of their culture in order to be part of a wider society (i.e. France). I don’t want to come down on either side, just give some food for thought here.

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