Category Archives: Colonial Legacies

Ranimant l’histoire algérienne

Comme plusieurs étudiants ont déjà noté sur le blog, la langue française occupe une grande partie de l’identité d’Assia Djebar, mais aussi les identités de Chamoiseau, Trouillot, Césaire, et Diome.  La langue jour des rôles importants dans tous les livres que nous avons lus ce semestre.  Ce que Emily a noté c’est que la langue française est pour Djebar un héritage du colonialisme qui rappelle d’une histoire troublante mais aussi une histoire de la libération.

Je voulais attirer votre attention à l’expression de Djebar d’une forme de la représentation du point de vue d’une autre.  Dans L’Amour, la fantasia (et ses autres œuvres), elle utilise la langue française comme moyen de négocier les problèmes avec la confrontation entre la France et l’Algérie.  En écrivant et en écoutant aux textes qui provoquent normalement des réponses visuelles – des documents, des lettres, des tableaux – Djebar et les lectures peuvent remarquer les sons autrement indiscernables de lutte, de résistance, et même d’amour.

Dans un entretien (vous devrez utiliser vos NetIDs pour l’accéder), Djebar dit de la langue :

Car le français est aussi pour moi la langue paternelle.  La langue de l’ennemi d’hier est devenue pour moi la langue du père du fait que mon père était instituteur dans une école française ; or dans cette langue il y a la mort, par les témoignages de la conquête que je ramène.

Elle parle ici d’un paradoxe de la langue : la langue qui est devenue la sienne était une fois la langue entachée par le sang de son peuple.  Mais, en utilisant le français, elle transforme des représentations françaises de la conquête d’Algérie en 1830.  Par exemple, dans les chapitres de L’Amour, la fantasia qui se sont passés au dix-neuvième siècle, les peintres comme Delacroix (et on voit dans le roman) et Eugène Fromentin contribuent à l’imagerie du paysage colonial.  Major Langlois s’arrête « pour dessiner des Turcs morts, ‘la rage de la bravoure’ imprimée encore sur le visage » (29).  Les images visuelles de la défaite algérienne, de brutalité et de barbarie commencent à justifier la conquête de l’Algérie aux français.

La couverture du livre: Delacroix, “Rebecca enlevée par le templier pendant le sac du château de Frondeboeuf”

Mais Djebar refait ces images en utilisant la même langue : sa propre langue comme femme algérienne.  Les actions violentes d’une femme algérienne qui sort le cœur d’un soldat français avec ses mains et une autre femme qui écrase la tête de son propre enfant avec une pierre – témoignant par le baron Barchou de Penhoën – son re-présentées comme des actes héroïques et courageux (30-32).  Ses descriptions verbales des tableaux et des histoires réaniment ces images gelées qui ont servi comme les histoires de l’invasion d’Algérie.  Ses transformations verbales décrivent l’enchevêtrement entre les formes d’art, et par extension, entre la France et l’Algérie.  Après tout, ses transformations n’auraient pas été possibles sans les comptes français.

Je vous invite de lire tout l’entretien et de penser aux parallèles et aux différences de la fonction de la langue française parmi tous les auteurs qui nous avons lus, et comment ils se réconcilient leurs rapports tendus avec la langue.

Un quota discriminatoire dans le foot ?

J’étais très intéressée dans la discussion de Le Pen en classe la semaine dernière. Sa réaction à l’invasion du stade des Algériens m’a frappé comme raciste et plutôt incroyable dans la société actuelle. Quand je recherchais plus le rapport entre Le Pen et le football, j’ai trouvé un article de mai qui présente un autre débat autour du monde du foot.

« Quotas dans le foot : la Fédération française dans l’embarras » s’agit d’un issue scandaleux de la Fédération Française de Football (la FFF). Il y a quelques mois, le journal Mediapart a accusé la FFF d’ayant un quota discriminatoire pour prévenir une abondance de joueurs « noirs » et « arabes » dans les centres de formation et les école du foot en France. Les dirigeants de la FFF nient l’existence d’un quota, mais ils reconnaissent le problème des joueurs enseignés dans ces centres de formation qui quittent la France pour jouer dans les pays africains. Le quota présumé vise en particulier les joueurs ayant la double nationalité.

Le sélectionneur de l’équipe de France de football, Laurent Blanc, est en faveur d’un quota comme cela. Il est concerné que les joueurs ayant la double nationalité vont se forment dans les programmes de France mais vont changer leurs nationalités pour jouer dans un autre pays. Il voit ce système comme un gaspillage des ressources de la France. Il constate :

« Moi c’est pas les gens de couleur qui me posent un problème. C’est pas les gens de couleur, c’est pas les gens nord-africains. Moi j’ai aucun problème avec eux. Mais le problème, c’est que ces gens-là doivent se déterminer et essayer qu’on les aide à se déterminer. S’il n’y a que des – et je parle crûment – que des blacks dans les pôles (de jeunes) et que ces blacks-là se sentent français et veulent jouer en équipe de France, cela me va très bien. »

Que pensez-vous ? Un quota limitant la quantité de joueurs ayant la double nationalité serait-il raciste ? Injuste ? Ou justifié par un désir des joueurs loyaux à la France ?

Sur l’Education

http://www.nytimes.com/2011/11/26/arts/design/quai-branly-museum-in-paris-glorifies-the-other.html?_r=1&ref=design

 

J’ai trouvé cet article sur le musée Quai Branlé un écho curieux de notre conversation au sujet du foulard et le rôle de l’éducation en France.  Comme les écoles, le musée sert à éduquer l’individu au sujet du passé, et selon la façon dans laquelle l’information est présentée, leurs messages peuvent être manipulés dans la même manière. Quoi que les intentions, biens ou mauvaises, conscient ou inconscient,  l’approche pris dans l’éducation¾ la curation des musées, la fonctionnement des écoles¾ illumine  beaucoup au sujet des présenters.

Dans « French Museums Atone for a Colonial History », l’auteur note le même manque qu’on peut voir dans les attentes d’interdire le foulard aux écoles ; l’attente est bien intentionnée, mais sert à  accomplir presque l’opposé du but indiqué.  Le musée Quai Branlé était crée par le Président Jacques Chirac dans un geste de repayer « the debt we owe to the people and countries [qui étaient colonisés par la France]….[which have] long been ignored or underrated » ; le but de l’institution est de voir « justice rendered ». Mais selon l’auteur, les exhibitions étaient organisé sans attention à la fonction ou au contexte des objets, au point qu’on peut voir le musée pas comme une institution fondée de célébrer des cultures spécifiques et uniques, mais au nom d’une idée vague du multiculturalisme qui établit en plus l’idée de « L’Ouest » et « L ‘Autre ».

Cette attente d’expiation a le même problème que ceux qui ont voulu bannir le foulard aux écoles ; tous les deux voulaient éduquer des citoyens d’une façon moderne, mais tous les deux sont à la fin inefficaces, et viennent plus proches à l’opposé des buts indiqués à cause des attitudes paternalistes et impérialistes.  On ne peut pas expier les pêchés du colonialisme avec un musée qui ne donne pas de la valeur aux cultures individuelles, mais les traitent comme une idée vague du « monde colonisé ». Et on ne peut pas libérer des femmes et éduquer des citoyennes avec des régulations qui limitent leurs choix, et les forcent d’abandonner soit leur foi, soit leur éducation (au nom de l’éducation de la citoyenne, bien sûr).  L’auteur conclue avec l’idée que « the embarrassment is in the fact of embarrassment. » du passé coloniale de la France. Mais cette attitude manque le but aussi ; ces attentes d’expiation peuvent être mal formées, mais elles sont quand même bien intentionnées (on espère…).  De se faire champion des réussites de l’Ouest, sans reconnaissance de celles des autre pays, est également mauvais.  On doit trouver quelque sort de « middle ground » entre les deux, de célébrer les vertus de tous cultures, sans oubliant les faits d’histoire.  Et sur le sujet d’expiation, seulement des attentes qui viennent d’un vrai désir de comprendre les habitants de « l’autre » peut éviter le piège de renforcer le message opposé et assurent en plus des attitudes impérialistes.*

 

 

 

*On ignore pour un moment que sur un niveau fondamentale, l’idée qu’un musée peut expier pour les péchés du colonialisme et la réalité néocoloniale, les vies sans nombre ruinées et prises, est un peu ridicule.

 

La Divergence

Je trouve intéressant l’idée de la divergence qui est présente dans notre lecture cette semaine—celle entre la société française et la société américaine, et celle entre les valeurs française et la réalité française. Premièrement, il est intéressant de comparer la société française avec la société américaine parce que à première vue ils semblent très similaires—ils sont les démocraties, chacun a joué un rôle central dans la création des droites humaines, et ils sont historiquement des amis. Cependant, quand on les examine plus profondément, on trouve qu’ils ont plusieurs perspectifs différents. Par exemple, nous avons discuté en classe les notions différentes des groupes minoritaires en France et aux Etats-Unis. Aux Etats-Unis, les minorités peuvent garder leurs propres cultures tandis qu’elles assument l’identité américaine. En fait, les cultures des minorités influencent souvent l’identité américaine, qui est toujours en évolution. En France, les Français demandent que les minorités perdent leurs propres indentés et prennent « l’identité française ». Les articles d’Achille Mbembe nous montrent que cette attitude peut contribuer à l’existence des préjugés contre les groupes qui n’acceptent pas rapidement cette identité française. Nous avons donc une autre divergence intéressante : celle entre les valeurs françaises et la réalité qui existe en France. Malgré le fait que les Français ont aidé de créer le concept de l’égalité, beaucoup de minorités, en particulier des immigrés, sont marginalisées dans la société française. Ainsi, la lecture renforce une idée principale de Le Ventre de l’Atlantique : en fait, pour les groupes marginalisés, la France n’est pas un paradis ; au lieu, elle a les inégalités comme les autres sociétés du monde.

le tremblement de terre

Le focus mondiale sur Haïti à ce moment est en grande partie grâce au tremblement de terre de 2010- la crise a attiré le regard du monde pour un moment, et est resté pour beaucoup plus longtemps, mais se fade avec le temps.  Au premier, le focus sur Haïti était sur le crise soi-même; comment trouver les victimes, comment les traiter, comment ensurer qu’ils auraient un toit sur leurs têtes et de la nourriture dans leurs ventres.  Mais, en s’occupent de ces problèmes immédiats, les problèmes systémiques de la société Haïtienne sont devenus plus apparents.  L’étendue des dégâts était si extrême à cause des faiblesses omniprésentes dans les fondations des bâtiments.  Et l’aide monétaire qui a inondé le petit Isle des pays du monde entier n’a pas attenu son cible à cause des dirigeants corrompus qui ont canalisé les fonds, le “kleptocracie” Haïtien, les vestiges tristes de la promesse de 1804. Bien sur, les étoiles ont trouvé des autres sources pour leurs “telethons” et le reste du monde a passé à l’autre chose, mais les problèmes fondamentaux restent, augmenté exponentiellement par le désastre et la façon dans laquelle les opérations de secours étaient gerée. L’attention et l’aide du monde était admirable, mais les problèmes dans la fondation de la société Haïtienne– une manque de l’infrasctructure, la mortalité natale, la pauvreté et une gouvernement qui vole des mêmes citoyens qu’ils ont juré d’aider– restent encore.  La plupart du travail n’est pas fini encore, et la moitié du monde a arrêté d’essayer.

 

On Lynn Hunt, “Inventing Human Rights”

As we begin Lynn Hunt’s book, Inventing Human Rights, this week, I thought it might be useful to highlight a few key concepts to keep in mind while reading. It might be interesting to think first about what you already associate with the following terms or categories: “the rights of man,” “human rights,” Republic(an), secular, citizen, torture, and empathy.

Next, while reading, think about how Hunt defines or reformulates these categories, and why she situates them within a broad historical context, perhaps one much broader than we anticipated. Think also about the wording of the title and how it relates to her overall argument: what can the juxtaposition of “inventing” with “human rights” tell us about the nature of such rights?

Inventing Human Rights has been praised and criticized for the boldness of its argument.  After you’ve read the Introduction and chapters 1 and 2 and started to form your own (preliminary) opinions about Hunt’s book, check out some of the book reviews published in academic journals and newspapers. I’ve provided a few links here:

New York Times: http://www.nytimes.com/2007/04/08/books/review/Wood2.t.html

The Nation: http://www.thenation.com/article/genealogy-morals

The Harvard International Review: http://hir.harvard.edu/courting-africa/dark-ages-of-human-rights (review by Linda A. Malone, a law professor at William & Mary Law).

One key argument in Hunt’s work is about the way novels helped propel changing political ideas during the eighteenth century. In the comments section below, please answer the following question:

Have you ever read a novel (or alternatively seen a film, a work of art, or a song) that has changed your political perspective, or altered your sense of your place in the world and your ethical responsibilities towards others?

We’ll normally ask the French section to post and respond in French, but for this first assignment you can all post your responses in English. Please post your response by Wednesday, September 7th, at 5 p.m. so that we can review them before sections the next day.

Le vent du changement dans la Nouvelle-Calédonie

Franchement, je n’ai jamais entendu de la Nouvelle-Calédonie; je ne savais rien sur la géographie ni l’histoire. J’ai trouvé cet article qui donne une bonne résumé de ce qui se passe depuis l’accord de Nouméa (1998). Cet accord donne du pouvoir politique à la Nouvelle-Calédonie pour déterminer ce qu’elle doit faire avant le referendum d’autodétermination, quand la Nouvelle-Calédonie doit déterminer si elle veut rester un TOM (territoire d’outre-mer) ou être indépendante. Cet accord a pour but de promouvoir la culture et la langue des Kanaks, les gens indigènes.

A 2010, la Nouvelle-Calédonie a adopté un hymne, une devise, un graphisme des billets de banque et un double drapeau. Bien qu’ils ne soient pas des pas très concrètes, ils sont symboliques et comme Antony Lecren, le ministre de l’économie et du développement durable, a dit, “Pour nous, c’est très important, on est un peuple de symboles, de parole, on prend ça à cœur.” Malheureusement, les changements qui sont prévus entre maintenant et le référendum d’autodétermination (2014-2018) semblent compliqués et difficiles; il y a quelques grandes questions qui doivent être résolues: le transfert de compétences (il n’y a pas d’assez de gens), la richesse du nickel (qui a bien profité des autres pays mais pas la Nouvelle-Calédonie), l’enjeu du développements économiques chez les Kanaks, le coût incroyable de la vie (deux fois qu’en France!) et la nécessité des nouvelles relations avec la France.

Cet article peint un futur idéal, mais c’est difficile à voir comment ça peut passer. Comment peut-on vraiment réduire le cout de la vie? Comment peut-on reprendre ce qui appartient à eux? Comment peut-on trouver des gens qui seront suffisamment équipés? Je dois oser que je connais très peu sur des choses de politique, donc peut-être je suis simplement cynique. De toute façon, il vaut la peine de garder un oeil sur ce qui se passera avec la Nouvelle-Calédonie.

Une Strategie gagnante pour Le Pen ?

J’au lu un article très intéressant qui discutait le fait que Marine Le Pen, présidente du Front national et candidate à la présidence, a courtisé les pieds-noirs (cliquez ici).  Selon cet article, Le Pen « a accusé le président Nicolas Sarkozy de ne pas avoir tenu les promesses qu’il avait faites aux pieds-noirs pendant la campagne de 2007 » et elle a « assuré ce samedi aux pieds-noirs qu’elle satisferait leurs grandes revendications si elle est élue présidente ».  Pour justifier ses remarques, Le Pen a fait mention de la responsabilité de l’Etat français dans la lutte contre l’indépendance d’Algerie.

Cet article est intéressante parce qu’il rend clair le fait que Le Pen est en train d’évaluer les faiblesses de Nicolas Sarkozy, un autre candidat présidentiel (et le président actuel).  Le Pen croit que Sarkozy n’a pas de l’emprise sur les pieds-noirs, et elle pense qu’elle peut gagner leurs voix.  A mon avis, c’est une tactique politique très astucieuse, parce que Le Pen essaie de profiter d’une faiblesse de son adversaire.  L’article est aussi intéressant parce qu’il explique que le père de Le Pen a « abandonné son mandat de député pour aller combattre en Algérie ».  Ainsi, je suppose que les promesses aux pieds-noirs sont assez personnelles pour la candidate.  Peut-être c’est une bonne nouvelle pour Le Pen ainsi que les pieds-noirs ; si c’est une question personnelle pour Le Pen, il est probable qu’elle tiendra ses promesses.  Et si les pieds-noirs pensent qu’elle tiendra ses promesses, il est probable qu’ils voteront pour elle.  Toutefois, j’imagine que c’est improbable que Le Pen gagnera l’élection.  Néanmoins, il reste d’espoir pour les pieds-noirs, même si Le Pen perd l’élection.  Avec un peu de chance, le fait que Le Pen les courtise poussera le président à tenir ses promesses de 2007.  Mieux vaut tard que jamais.

More on Algeria

BRUNO, CHIEF OF POLICE by Martin Walker

Book Cover

Written in 2008 by journalist and historian Martin Walker, this novel is a murder mystery set in provincial France. The victim is an elderly North African, who not only fought in the French army, but won the Croix de Guerre for his efforts. The investigation “opens wounds from the dark years of Nazi occupation” and even this “seemingly perfect corner of la belle France is not exempt from [its] past”. Throughout the novel, there is much discussion of the topics we studied in class last semester. There is mention of the banlieues violence, racism, religious conflict in a society that prides itself on its laïcité and so on. The solution of the murder, however, reveals an entirely new twist in the history we studied. I don’t know how to hint at it without ruining the novel but it totally blew my mind. And the way that Bruno, the local chief of police deals with the shocking denouement is also excellent food for thought.

Has anybody read it?? And if anybody is looking for a light read this summer, please please please pick this up so I can hear your thoughts about it! It’s not particularly satisfying on a literary level, but it brings to light a new, staggering dimension in Franco-Algerian relations.

Hors la Loi by Rachid Bouchareb

CLICK HERE FOR TRAILER

Back in March, I posted about the film Indigènes. Bouchareb’s new film Hors la Loi was shown at Cannes this year and met with great controversy. French war veterans, pieds noirs and right-wing politicians protested its screening, accusing the movie of being biased against France (its portrayal of the 1945 Sétif massacre seems to have been particularly offensive). Audiences were frisked going into the theatres etc. I’m dying to see it but haven’t heard anything about mainstream distribution…has anybody seen it or read anything about it? I hear firsthand that it is just as beautifully shot as Indigènes but a review in The Telegraph says that “depth and complexity are being flattened in the pursuit of accessibility”.

Un monument aux pieds noirs

Une photo du monument, New York Times

J’ai trouvé une série de photos au sujet d’un nouveau monument à Perpignan, France. Ce monument représente un sujet controversé en France parce qu’il préserve la mémoire des pieds noirs morts dans la guerre d’Algérie.

Cette série me rappelle de l’article de Mann, « Locating Historical Legacies ». En fait, avec les photos, il y a une citation de Stora, un autre auteur de classe, qui offre une vue similaire : « There is a crisis of national storytelling in France that historially has seen itself as a place of assimilation and integration, but now minorities want to question that story. » Donc, il me paraît que ce monument offre un hommage aux pieds noirs morts. Mais au même temps, le monument sert de symbole ironique du conflit social à cause de la colonisation et de l’immigration. Il est intéressant que, comme Mann dit, les endroits historiques puissent illustrer la complexité de la situation entre la France et ses colonies.