Et qu’est-ce qui se passe si l’on définit la race et la religion ?

Dans son livre, Why the French Don’t Like Headscarves, John R. Bowen explore le thème de la laïcité à travers le voile.  En lisant son œuvre, je me suis demandée dans le troisième chapitre pourquoi  les recenseurs ne peuvent pas demander des questions sur la foi ?  Je comprends que le concept de la laïcité est axé sur la séparation entre la religion et l’État et que l’évolution du concept a résulté avec le but du traitement égal des toutes les religions (au moins hypothétiquement), mais est-il possible que le problème avec la France et ses religions vient du fait qu’elle « ne reconnaît pas la religion » d’une certaine manière ?

 

On a déjà découvert en classe (et avec des liens entre Le Ventre de l’Atlantique et Soccer Empire) qu’il y a cette notion qu’on ne peut pas être en même temps un membre de la France et d’un autre pays (avant une colonie de la France).  Premièrement, le problème avec cette question commence avec la difficulté d’adresser le fait que la Constitution française ne reconnaît pas la race.  Ce conflit pose des problèmes parce que si l’on ne définit pas la race, comment est-ce qu’on pourra commencer à aborder la solution d’une question de race ?  Indépendamment de cette réalité, les personnes qui décident d’immigrer en France trouvent des obstacles qu’entravent l’intégration des cultures et des sociétés.

 

Donc, comment est-ce qu’on peut parler de la laïcité en France quand les populations religieuses sont des estimations inexactes ?  Pourquoi restreindre la liberté à dire votre religion (à travers les enquêtes) ?  A mon avis, cela peut encourager les gens à ne pas parler ouvertement de leur religion—une marge de manœuvre pour les problèmes.