Interprétation des banlieues de la France par les cinéastes.

Si tu aimes les films français comme moi, tu dois absolument voir les deux films, « La Haine » et « Banlieue 13 ».

« La Haine » est l’histoire de trois adolescents dans une banlieue de Paris, un juif, un arabe, et un africain. Son ami Abdel, un voyou local, est hospitalisé après une émeute, où un policier a perdu son pistole. Son ami Vinz (le juif) trouve l’arme et, furieux sur l’état de son ami aux mains de la police, affirme qu’il va tuer un flic si Abdel meurt. C’est une histoire de solidarité comme minorité mais aussi de la violence à cause du racisme.

« Banlieue 13 » est un peu moins réaliste, vraiment un film d’action, mais le cinéaste montre comme il imagine les banlieues en 2010 à Paris (le film a été filmé en 2004, seulement un an avant les grands émeutes). C’est évident que les français associaient les banlieues avec la violence et le crime. Dans le film un policier clandestin et un ex-voyou essaient d’infiltrer un gang afin de désamorcer une bombe à neutrons.

Voilà les bandes-annonces :

La Haine

Banlieue 13

 

One thought on “Interprétation des banlieues de la France par les cinéastes.”

  1. Je suis complètement d’accord que “La Haine” est un film fantastique—tourné d’une façon belle, aux moments différents amusant, dramatique, et émouvant. De plus, le metteur en scène fait des juxtapositions entre la culture française comment elle était toujours considérée, et celle de la “nouvelle France”, une culture qui inclut tous les influences de la mondialisation et le passé colonialiste de la patrie (par exemple, “Le Vie en Rose” de Edith Piaf jouant à plein volume dans la banlieue). Il illustre très bien la lutte qu’on a discuté la classe dernière de la conception française de sa propre identité, et ce que c’est d’être « français » avec l’influence augmentant des immigrés africains et arabes. Mais je différencierais avec la description du film comme une “histoire de solidarité”—alors qu’il est vrai que la solidarité existe entre les trios amis, bien sûr, ils sont également divisés par leurs différences de race qu’ils sont unis par leur pauvreté. D’être juif- mais blanc- est une expérience complètement différente d’être noir, comme Hubert, ou d’être de l’héritage Arabe et musulman, comme Saïd. Quand les trois amis sont arrêtés par la police en Paris, c’est les deux homes de couleur, mais pas Vinz, qui sont amenés au poste de police où ils sont questionnés dans une façon brutale. Ce moment dans le film rappelle au spectateur comment on ne peut jamais oublier comment les attitudes de tants de personnes dans notre société n’ont jamais changé depuis des siècles, et comment la race n’est jamais trop loin de la question.

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